Le deuil, c’est cette période où l’on doit s’adapter au manque, à l’absence.
Il peut être consécutif à un décès, mais pas seulement…
Une perte d’emploi, un déménagement, une rupture (sentimentale, amicale), un départ en retraite, le départ d’un enfant de la maison : tous ces cas de figures (et d’autres encore) peuvent entraîner beaucoup de souffrance et l’on passera par les même étapes, plus ou moins longues, que lorsque l’on perd un être cher.
Il y a aussi les deuils dits “spécifiques” : le deuil d’un enfant, le deuil qui fait suite à un suicide, le “deuil blanc” (que l’on commence du vivant de la personne lorsqu’elle est atteinte d’un trouble cognitif) qui compliquent encore davantage le processus.
La société actuelle, tournée vers le rendement et la compétitivité, ne nous laisse plus le temps de cheminer, et ne nous apporte plus forcément les “rituels” nécessaires à ce travail de deuil, accentuant notre peine, bloquant nos émotions et freinant le processus de deuil en marche.
Si vous avez besoin d’un accompagnement spécifique autour de ce thème, je suis à votre écoute.